Milora inteviewe... Trembleur !

(Bon, allez, je me (re)lance... si quelqu'un répond. Mais j'aimerais bien faire l'interviewée, un jour, alors si quelqu'un veut faire le journaliste, sur un autre sujet, n'hésitez pas !)

Milora arrive, s'installe, consulte sa montre (à gousset, of course), et sort son crayon. Comme son rendez-vous n'arrive pas, elle se met à dessiner de petits motifs sur le bord de son calepin. Puis au milieu. Puis sur toute la page. Elle l'arrache et s'interdit de gribouiller la seconde. Halte au gaspillage, les forêts auront assez du XXème siècle pour se faire défricher.
Enfin, elle entend des pas, et lève la tête.

Je rentre en Furie pour impressionner toutefois des que là porte se claque je me met à rougir je me fais tout petit : dans la pièce il n'y qu'une personne et la pièce eh bas elle, elle est grande !
Que faire ? demi-tour ?Non je ne m'appelle pas Furet pour rien !
J'avance à petit pas je murmur un b'jour presque inodible dans cette pièce qui résonne. Je m'assoie sur la chaise en face de ce qui me parait être l'intervieweuse. Jamais je n'aurai du les écouter il m'ont dit que j'avais tout à gagner ! Cela m'étonne que la demoiselle devant n'ai pas encor epouffé j'aimerai pas qu'ils voient ma tête !Mais j'azimerai bien les voir à ma place eux !!! Pourquoi suis-je aller à cette interview qui n'était même pas pour moi mais la personne n'ayant pas prévenu qu'elle ne serait pas là j'ai pris sa place, sur leurs conseils ! Toutefois maintenatnque je suis là je ne peux plsfaire demi-tour alors autant me mettre alaise. De plus j'ai toujours révé d'un interview comme celui-ci, c'était l'occasion à saisir ! Je reprend alors d'une voix un peu plus assuré que mon "b'jour" mais je suis toujours aussi rouge (un tête à tête c'est toujours impressionnatn surtout quand on y est pas habitué !):
"Je vous écoute."